
8 mois dans une vie, ce n'est rien.
Mais 8 mois passés sans vous, c'est tout autre chose. 8 mois sans vous c'est une terrible tragédie, une torture insupportable, un déchirement effroyable!
"Se quitter pour mieux se retrouver", me direz vous.( citation tirée du "Registre des phrases bâteaux" avec dans le même genre: "un de perdu, dix de retrouvés" ou encore "Tu sais quoi Natacha? Il ne te méritait pas".)
Enfin, cela n'empêche que je me lierai peut être d'amitié avec la population béninoise, d'autant plus que d'après le père de Rachel, je ne suis pas violente et ne risque pas de "broyer du noir"...(...je m'abstiendrai làs bas, promis.)
Mais passons aux choses sérieuses. Ce message était destiné à un contenu mélodramatique car d'une part, ça me connait bien et d'autre part, j'en avais envie.
Alors, en ces quelques jours avant le départ, je ne peux m'empêcher de penser
au commerce des poussins roses, aux bananes qui gonflent au four, au coup de foudre d'une soirée à Montargis, aux saris, au Flunch, à l'Absolut, "vivre d'amour et d'eau frâiche", le Packston, Waka waka,"On est les jaunes, on est l'USO..", "Nazdrowie!", aux BDL, Mike Stern et le New Morning, "Tout le monde veut prendre sa place", Murmur, Warf warf...tous ces petits clins d'oeils qui font de merveilleux souvenirs et chavirer les coeurs. (objectif mélodramatique atteint)